« Watringue » : différence entre les versions
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{{À sourcer|date=novembre 2023}}{{voir homonymes|Watergang}}
[[Image:P4040396 Watergang v d Benteleres.JPG|thumb|Modèle d'un petit watergang, de la taille d'un fossé, mais dont le profil évasé permet d'augmenter la contenance et le débit au fur et à mesure de la montée de l'eau ; l'enherbement le protège de l'érosion et la pente relativement douce rend visibles les [[rat musqué|rats musqués]] aux prédateurs ou piégeurs.]]
Une '''
== Étymologie ==
« Watringue » est un terme masculin ou féminin provenant du [[néerlandais]] ''{{lang|nl|watering (wetering)}}'', lui-même issu du terme ''{{lang|nl|water}}'' qui signifie « [[eau]] » en [[néerlandais]].
Ce terme est utilisé en France dans la [[
Par [[métonymie]], le mot décrit aussi l'association (parfois obligatoire) des propriétaires qui financent en commun les travaux d'entretien et de fonctionnement du réseau. Dans le
== Utilisation ==
L'eau y est prélevée pour être renvoyée vers la mer, soit à marée basse quand les écluses s'ouvrent, soit par des moulins à vent qui la relèvent ([[Pays-Bas]] et Flandre autrefois) ou plus généralement aujourd'hui par des pompes électriques.
== Histoire ==
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=== Époque romaine ===
Les [[Morins]] habitaient sur une bande marécageuse et couverte de forêt. [[Strabon]] nous indique qu'ils habitent
▲Les [[Morins]] habitaient sur une bande marécageuse et couverte de forêt. [[Strabon]] nous indique qu'ils habitent « de petites îles et plaçaient leurs cabanes sur des éminences formées en quelques endroits par la nature et en d'autres par la main des hommes, et assez élevées pour que les marées ne puissent les atteindre ... ». Dans le même temps, il nous rapporte que « l'océan s'épanche deux fois par jour dans la plaine et fait douter si ces parages font bien partie de la terre ferme » <ref> {{ouvrage |lang=fr |auteur=Dolez, Marcel |titre=Les Moëres, étude d'une association syndicale de dessèchement dans la région du Nord de la France. |ISSN= |no= |date=1907 }}</ref>.
Sans doute est-ce à cause de ces conditions que les légions romaines de [[Jules César|César]] eurent énormément de mal à conquérir ce peuple belliqueux. Même après la victoire, aucun travail d'endiguement n'a été entrepris. Seules quelques routes furent construites pour atteindre la mer à marée basse. Serait-ce aussi pour avoir une zone tampon entre les attaques [[Frisons|frisonnes]] et [[Saxons|saxonnes]] ? Leur occupation est attestée jusqu'au règne de [[Quintillus]] au vu des pièces retrouvées lors de fouilles.
Leur retrait a été commandé par deux évènements : la grande inondation du {{s-|IV|e}}, les obligeant à reculer ; et l'invasion des [[Francs]] vers 420.
=== Transgression dunkerquienne ===
Celle-ci aurait eu lieu au {{s-|IV|e}} d'après Gilbert Delaine, car on ne trouve plus de trace de civilisation franque<ref>{{Ouvrage|langue=fr|nom1=Delaine|prénom1=Gilbert|titre=Les waeteringues du Nord de la France|ISSN=|no=|date=1969}}</ref>. On peut donc penser que cette [[Transgression marine|transgression]] eut lieu entre le règne de [[Quintillus]] et celui des Francs. Cette transgression va permettre de donner la tourbe et l'argile poldérienne, tout en lissant le paysage. Les fleuves,
<br>Ces transgressions se poursuivent du {{sp-|V|
▲Cette transgression va permettre de donner la tourbe et l'argile poldérienne, tout en lissant le paysage. Les fleuves, et l'[[Aa (fleuve)|Aa]] surtout s'écoulent alors par de nombreux ravinements, comblés par la suite. Ainsi l'Aa va se frayer des lits qui deviendront la [[Colme]], canal de Bergues, ainsi que le [[Vliet]], qui deviendra le canal de Bourbourg.
▲Ces transgressions se poursuivent du {{sp-|V| au |VII|}}. Le sol de la plaine maritime réapparaît au-dessus du niveau de la mer qui baisse et des cordons dunaires se forment, ne laissant passer l'eau que par des trouées. Peu à peu, l'eau, de par les marées, va découvrir lentement les plaines. Il faudra attendre le {{s-|XII|e}} pour que la mer ne reste qu'aux abords de Dunkerque.
=== Christianisation du pays ===
Plusieurs tentatives seront effectuées. La première se fait au {{s-|IV|e}} par deux prêtres de Rome mais ils furent chassés du pays. Un siècle plus tard, [[saint Victrice]], soldat converti et évêque de Rouen, commence avec succès l'évangélisation mais les Francs réduisent à néant son œuvre. Il faudra attendre les {{sp-|VI| et |VII|}}s pour que les institutions monastiques s'installent, dont la première à [[Thérouanne]].
[[Audomar|Saint Omer]], l'évêque de Thérouanne, dira de ''Sithiu'' (aujourd'hui la ville de [[Saint-Omer (Pas-de-Calais)|Saint-Omer]]) ''{{
Toutefois les inondations de l'Aa (eau douce) et les fortes marées (eau salée) ainsi que les invasions normandes empêchèrent l'agrandissement de ces domaines. Pendant tout ce temps, les cultures ne furent pratiquées que sur des hauteurs, sans doute quelques cultures estivales voire épisodiques étaient pratiquées sur les terres les plus basses, recouvertes au gré des inondations.
=== Les comtes de Flandre ===
Bauduin
Le pouvoir central n'ayant aucune puissance pour maintenir l'ordre, les chefs militaires, gouverneurs et comtes lèvent des armées pour combattre les ennemis. Le chef militaire est appelé ''châtelain'', commandant les forces des seigneurs voisins pour résister aux Normands. Cette association donne naissance à la [[châtellenie]], nom donné au pays dominé par le châtelain ainsi qu'à la confédération instituée sous ses ordres. Les châteaux et les places fortes sont ensuite entourés d'enceintes fortifiées pour les classes subalternes, places appelées bourg. La défaillance du pouvoir central va permettre aux châtelains
Ces inondations eurent pour effet de relever le niveau du sol par dépôts d'alluvions. Les gens reprennent leurs travaux d'endiguements et d'asséchements en envoyant l'eau par gravitation à la mer, ou alors dans les effondrements lorsque les terres sont plus basses que la mer, formant ainsi de grands lacs (les moëres) qui dégagent des odeurs pestilentielles et souvent causes d'épidémies.
Afin de stimuler les travaux de dessèchement du pays, les comtes de Flandre vont accorder aux institutions monastiques toutes les terres gagnées par eux sur la mer. La première charte accordant ce droit est celle de [[Baudouin de Lille]], qui accorde à l'abbaye Saint-Winoc à [[Bergues]]
=== Philippe d'Alsace ===
C'est ainsi que [[Philippe d'Alsace]], comte de [[comté de Flandre|Flandre]] et de [[Vermandois]] se penche sur la situation. Il regarde le problème de façon générale, convaincu que les problèmes ne peuvent être résolus qu'à l'échelle de toute la plaine maritime.
Son premier acte est de définir la ''Terra Nova'' comme
En
À la suite de quelques contestations de la validité des donations faites par les chartes des Comtes de Flandre, Philippe d'Alsace confirme ces privilèges.
Enfin, et dans le but de garder ses terres sèches, il crée une organisation : les ''
Pour l'entretien des waeteringues des taxes sont instituées et placées sous la responsabilité d'un receveur des wateringues et diccages tenu de rendre des comptes annuels aux grands membres des waeteringues qui sont les grands propriétaires fonciers. Ainsi dans la [[châtellenie de Bourbourg]], les cinq grands membres des waeteringues sont le seigneur de la Cour du Ghyselhuys, seigneur du lieu, le châtelain vicomte de Bourbourg, l'abbé de l'[[Abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer|abbaye de Saint Bertin]] de [[Saint-Omer (Pas-de-Calais)|Saint-Omer]], l'abbé de l'[[abbaye de Clairmarais]] et l'abbesse de Bourbourg<ref>{{Ouvrage|langue=|auteur1=Georges Dupas|titre=Seigneuries et seigneurs de la Châtellenie de Bourbourg|passage=31|lieu=Coudekerque Branche|éditeur=Galaad Graal|date=2001|pages totales=|isbn=|lire en ligne=}}</ref>.
=== Après la Révolution française ===
Selon l'[[ingénieur en chef des ponts et chaussées]]
Cordier ajoute :
== Les wateringues ==
=== Signification ===
Le mot
Par analogie, certains en ont déduit que cela voulait dire canalisations ou marais. D'autres, par extension, utilisèrent le terme pour désigner aussi bien l'administration chargée du dessèchement et les canaux eux-mêmes, que l'on appelle aussi
=== Organisation ===
Au {{s-|XII|e}}, Philippe d'Alsace décide d'organiser le dessèchement sur tout le littoral en même temps. Dans ce cadre, il divise le territoire du littoral en wateringues dont il confie l'administration aux abbés des quatre abbayes de Saint-Omer, Furnes, des Dunes et de Bergues, avec le titre de opper-watergraaf, autrement dit comte supérieur des eaux. Ceux-ci confièrent leur responsabilité à trois assemblées, des « bancs », composés de baillis représentant les châtellenies, des échevins constituant le magistrat des villes et des ''keures'', et enfin des hommes de fief, représentant les seigneurs du pays. Ces bancs avait la possibilité de nommer les watergraven, comtes des eaux. Ces watergraven se réunissaient en assemblées ou collèges. Leurs rôles étaient d’arrêter les programmes de dessèchements, décidaient du tracé des nouveaux watergangs et canaux à créer, traitaient de l'établissement des digues, chemins, et de leur conservation, fixaient les impôts, faisaient régner l'ordre à l'intérieur des wateringues en appliquant leur règlement de police et en rendant la justice. Ces collèges avaient des pouvoirs étendus, même le droit d'élever des digues s'il le fallait, et le cas échéant à la suite du refus des tenanciers, d'imposer une amende. Toutefois les comtes gardent un certain contrôle de l'organisation, et si l'abbaye refusait d'effectuer des travaux jugés nécessaires, l'abbaye pouvait être obligée à payer la subvention que les wateringues déclaraient par serment être nécessaire. D'autre part, ceux qui dégradaient ou rompaient les digues seraient soumis à la justice du comte, dont le bailli inspecte chaque année les digues et ouvrages nécessaires à l'écoulement des eaux. [3 - Charte du {{date-|7 septembre 1244}}, Jeanne, comtesse de Flandre].
La charte d'{{date-|avril 1255}} donne le droit au bailli, châtelain et [[Comte des digues|watergraaf]] de régler les eaux du moulin [
Cette dernière charte permit une véritable avancée dans l'asséchement des terres et la puissance des quatre abbés et de leurs watergrafs ne firent qu'augmenter. Les comtes de Flandre en prirent ombrage et, en {{date-|1292}}, pour sauvegarder leur influence sur le territoire, imposèrent des techniciens chargés de consulter les assemblées et coordonner les grands travaux, d'assurer leur exécution et de prendre en main la direction de ces administrations. Ils prirent le nom de moermaistre général de Flandre, soit gouverneur général des marais de Flandre. Les comtes augmentèrent les prérogatives de ces fonctionnaires aux dépens des collèges créés par les quatre abbés. À la suite des dérives de ces dits fonctionnaires, puis aux zèle des remplaçants, les seigneurs virent leurs attributions et privilèges menacés.
===
Un de ces seigneurs, [[Robert de Cassel]], comte de Marles, héritier de la seigneurie de Dunkerque, intenta un procès à Philippe de Bourgogne,
===
[[Louis XIV]], après la conquête de la Flandre, s'immisça également dans l'organisation des wateringues en remplaçant le ''moermaistre'' général par des Intendants de la Flandre maritime.
Il faudra attendre la Révolution pour que ceux-ci disparaissent définitivement, mais rapidement remplacés par les [[
== Compléments ==
* La première ordonnance connue concernant les wateringues daterait de
* Le dernier arrêt royal concernant le dessèchement par les wateringues date du {{date-|6 décembre
* en {{date-|1806}}, un décret impérial puis un autre le {{date-|28 mai 1809}}, puis une ordonnança royale en 1833 sont édités▼
* en
* en {{date-|1852}}, Louis Devot peut estimer que
=== Une menace maritime permanente ===
▲* La première ordonnance connue concernant les wateringues daterait de [[1169]] (charte de [[Philippe d'Alsace]], [[comte de Flandre]] et de [[Vermandois]]
▲* Le dernier arrêt royal concernant le dessèchement par les wateringues date du 6 décembre [[1789]]
▲* en 1806, un décret impérial puis un autre le 28 mai 1809, puis une ordonnança royale en 1833 sont édités
▲* en [[1816]] Le géographe et cartographe [[Louis Cordier]] a dressé une carte du département du nord et une carte de l'arrondissement de Dunkerque ''comprenant les 4 sections des "wateringues, ou les mares françaises, en 1815"'' (par MM. Cordier et Bosquillon, ingénieurs)<ref>''Bulletin des sciences géographiques, économiques, voyages'', tome XXII, Paris, imprimerie Firmin Didot, publié par la société pour la propagation des connaissances scientifiques et industrielles, 1830 (voir p. 105) </ref>.
▲* en 1852, Louis Devot peut estimer que « 30 mille hectares de terre d'une valeur de près de {{formatnum:100000000}} de fr. se trouve protégée contre l'inondation, et elle est maintenant en état de culture ».
Ceci est dû à deux phénomènes : les situations de [[surcote]], imprévisibles sur de longs pas de temps, et depuis quelques décennies ou siècles à cause de la [[montée des océans]] et peut-être de risques accrus de pluies hivernales.
Ainsi, le {{date-|31 janvier 1953}}, une tempête balaie le [[Calaisis]]. Elle pousse la mer vers la côte. Une digue cède au lieu-dit ''Maison Blanche'' près de [[Oye-Plage]], en noyant 23 hectares de terre. Une autre brèche (de {{unité|15|mètres}} de large) est signalée entre [[Blériot-Plage]] et [[Sangatte]], noyant la route nationale et les champs sous 40 centimètres d'eau salée. Malgré les moyens lourds rapidement mis en œuvre, l'une des deux réparations cède à la marée suivante qui inonde cette fois 200 hectares près
Aujourd'hui, le réseau des wateringues est géré par les sections de wateringues, chargés des [[curage]]s, [[faucardage]]s et [[débroussaillage]]s dans le but d'assurer le bon écoulement des eaux et de maintenir la navigation là où elle est pratiquée. Ponctuellement elles peuvent intervenir pour la lutte contre certaines espèces invasives ([[jussie des marais]], [[rat musqué]], [[renouée du Japon]]
<br />Pour leur part, les propriétaires privés doivent entretenir leurs berges de manière à assurer un bon écoulement des eaux, éviter les problèmes hydrauliques (taille des saules têtards, recépage, élagage…), ce qui peut parfois contredire les besoins ou projets de [[renaturation]] de la [[trame verte et bleue]] afin de retrouver le [[bon état écologique]] du bassin versant (Dans les zones habitées, les riverains et collectivités ont souvent fortement [[Artificialisation|artificialisé]] les berges (tunage bois, tôle métallique, palplanches, plaque de béton, murs de brique, gravats… pour limiter l’érosion et la divagation des cours d'eau. ▼
<br />En complément, l'Institution interdépartementale des wateringues<ref>[http://institutionwateringuesnpc.pagesperso-orange.fr/ Portail institutionnel des wateringues]</ref> assure la gestion, l'exploitation et la maintenance des grands ouvrages d'évacuation à la mer. En outre, divers syndicats ayant compétence sur l'eau contribuent également à entretenir les cours d’eau (ex : SMAGE Aa, SYMSAGEL, SAGE du Delta de l’Aa, Syndicat de rivière de la [[Melde]] dans le [[Pays de Saint-Omer]]<ref name=Diagnostic2012ADSO>Agence d'urbanisme de St Omer, ''[http://www.aud-stomer.fr/fichier/file/120215_TVB_Pays_St_Omer_DIAG_v2.pdf TRAME VERTE ET BLEUE DU PAYS DE SAINT-OMER Phase 1 - Diagnostic Syndicat Mixte Lys Audomarois]'', Doc travail soumis aux partenaires de l’étude lors du Comité de pilotage du 22.02.2012, Voir pages 40 et suivantes, consulté 2012-09-30</ref>. Les [[Schéma d'aménagement et de gestion des eaux|SAGEs]] font partie des lieux de mise en cohérence de ces actions.▼
▲
En 2009, une [[Cindynique|étude de risque]] a été lancée par la [[DREAL]] pour mieux évaluer et comprendre le niveau de risque d'inondation dans le polder des Wateringues en cas de synergie défavorable entre la météorologie (par exemple en cas de crues des bassins versants conjuguées à un ou des épisode(s) pluvieux ayant saturé les sols du polder) et une [[grande marée]] et/ou une [[surcote]] et éventuels dysfonctionnements d'ouvrages, tout en tenant compte du [[dérèglement climatique]] et de la [[hausse du niveau marin]]. Une méthode de quantification de l'aléa a été créée pour cela, inspirée de celle développés pour l'étude des niveaux extrêmes le long de la Loire estuarienne par Lepelletier en 2010<ref name=Lepelletier2014>Lepelletier, T., Lemoigne, E., Henique, J., Clerc, F., Parent, P. & Cusenier, P (2014) ''Détermination de l'aléa risque inondation dans le secteur des Wateringues.'' La Houille Blanche, (4), 20-25. [http://www.shf-lhb.org/articles/lhb/abs/2014/04/lhb2014034/lhb2014034.html résumé]</ref>. Une telle étude nécessite une très bonne connaissance du fonctionnement hydro-écologique du bassin qui alimente les watringues en eau<ref name=Lepelletier2014/>.▼
▲
▲En {{date-|2009}}, une [[
== Notes et références ==
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== Voir aussi ==
=== Bibliographie ===▼
* Jos Schramme, ''Des Wateringues'', Bruxelles : E. Scheller ; Bruges : Ad. Maertens-Matthys [http://nordnum.univ-lille.fr/ark:/72505/a01140480534940g78d/c1999e3521 (lire en ligne]), 1899.
* Alfred Antoine,
* Barraqué, B.
* Khaladi, A.,
* Lepelletier, T., Lemoigne, E., Henique, J., Clerc, F., Parent, P., & Cusenier, P.,
* Masson, F. X.,
* Planque, T. [https://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-02178388 « Aménagements hydrauliques et enjeux de pouvoirs à Dunkerque et dans sa périphérie rurale (1852-1929) »], mémoire de mastère, université Lumière-Lyon 2. Histoire, 2019.
* [[Louis Quarré-Reybourbon
=== Vidéographie ===▼
* [https://www.youtube.com/watch?v=o4F0gB71ijA Film sur les Wateringues]
=== Articles connexes ===
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* [[Drainage (agricole)]]
* [[Marais audomarois]]
Ligne 110 ⟶ 122 :
* [[Polder]]
* [[Zones humides]]
* [[Fossé (infrastructure)|Fossé]]}}
=== Liens externes ===
* [http://environnement.wallonie.be/aww Site de l'Association des wateringues wallonnes]
* [https://www.institution-wateringues.fr/le-territoire/les-wateringues-comment-ca-marche/ Les wateringues, comment ça marche ?]
▲== Bibliographie ==
▲* Antoine, A., & Mahieu, A. (1923). ''Les Wateringues françaises (Nord et Pas-de-Calais)'', par Alfred Antoine. Préface par M. Albert Mahieu,... impr. Joly-Thuilliez.
▲* Barraqué, B. (2011). ''Des bisses aux wateringues..., De l’usage en commun des eaux en Europe''. Les Bisses, écono.
▲* Khaladi A (1992) ''Gestion automatique des transferts d'eau en réseaux hydrauliques mailles à surface libre(application au réseau des Wateringues)'' Thèse de Doctorat ([http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=149796 notice INIST-CNRS]).
▲* Lepelletier, T., Lemoigne, E., Henique, J., Clerc, F., Parent, P., & Cusenier, P. (2014) ''Détermination de l'aléa risque inondation dans le secteur des Wateringues.'' La Houille Blanche, (4), 20-25 ([http://www.shf-lhb.org/articles/lhb/abs/2014/04/lhb2014034/lhb2014034.html résumé]).
▲* Masson, F. X. (1979) ''Recherche sur les sols et leur cartographie dans la plaine maritime des Wateringues du Nord et du Pas-de-Calais'' (Doctoral dissertation).
▲* Quarré-Reybourbon Louis-François (1892) [http://www.westhoekpedia.org/wp-content/uploads/downloads/2014/01/Dessechement-des-wateringues-et-des-moeres.pdf ''Dessèchement des wateringues et des Moeres dans l'arrondissement de Dunkerque... travail communiqué au congrès national de géographie de Lille, le 2 août 1892 ''] WESTHOEKPEDIA Reprints – Janvier 2014
▲=== Vidéographie ===
▲* [https://www.youtube.com/watch?v=o4F0gB71ijA Film sur les Wateringues] ; réalisé dans le cadre du projet européen Floodcom (sur YouTube).
{{Palette |Irrigation et drainage}}
{{Portail|Nord-Pas-de-Calais|Belgique|Pays-Bas|lacs et cours d'eau|bâtiment et travaux publics}}
[[Catégorie:
[[Catégorie:Polder]]▼
[[Catégorie:Drainage]]
▲[[Catégorie:Polder en France]]
[[Catégorie:Nord-Pas-de-Calais]]
[[Catégorie:Ouvrage hydraulique]]
[[Catégorie:Copropriété]]
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