Le Gué-de-Longroi

commune française du département d'Eure-et-Loir

Le Gué-de-Longroi est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Le Gué-de-Longroi
Le Gué-de-Longroi
Ancienne gare du Gué-de-Longroi.
Blason de Le Gué-de-Longroi
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Pascal Boucher
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28188
Démographie
Population
municipale
919 hab. (2021 en évolution de −1,39 % par rapport à 2015)
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 30′ 06″ nord, 1° 43′ 14″ est
Altitude Min. 115 m
Max. 161 m
Superficie 6,9 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Le Gué-de-Longroi
Liens
Site web GuédeLongroi.fr

Géographie

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Situation

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Communes limitrophes

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Communes limitrophes du Gué-de-Longroi
Ymeray Bleury-Saint-Symphorien
Champseru   Levainville
Umpeau Oinville-sous-Auneau

Hameaux et écarts

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  • Saint-Chéron-du-Chemin
  • Occonville
  • Angles

Hydrographie

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La commune est traversée par la rivière la Voise, affluent en rive droite de l'Eure, sous-affluent du fleuve la Seine.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 612 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Houx à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 622,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Le Gué-de-Longroi est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,8 %), forêts (12,9 %), zones urbanisées (5,2 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune duGué-de-Longroi est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[10]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[11].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Voise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2016 et 2021[12],[10].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux duGué-de-Longroi.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 72 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 372 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 334 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[10].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[14].

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Vadum de Loonrai vers 1200, Vadum Longi Regis en 1300, le Gué de Lonroy en 1349[15].

Ce nom composé résulte d'une traduction de l'ancien terme du proto-roman d'origine gauloise rito- « gué », d'où Longroi « long gué ». Il s'agit donc d'un composé tautologique, car l'élément -roy n'a plus été compris dans son sens initial. Xavier Delamarre voit dans le premier élément le mot gaulois longo qui signifie navire. La forme gallo-romane serait donc *longoritum avec le sens de « le gué des navires »[16]

Homonymie partielle avec Longroy, commune de Seine-Maritime.

Histoire

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Époque contemporaine

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Changement d'appellation

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Jusqu'en mars 1838, la commune était nommée Saint-Chéron-du-Chemin[17] :

  • 1817 : délimitation réalisée de Saint-Chéron-du-Chemin d’avec Bleury et Ymeray par Ordonnance Royale du  : Bleury et Ymeray cèdent leur partie du village du Gué-de-Longroi à Saint-Chéron-du-Chemin[18].
  • 1818 : délimitation réalisée de Bleury d’avec Levainville et Saint-Chéron-du-Chemin par Ordonnance Royale du [18].

Desserte ferroviaire

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De 1892 à 1938, cette commune bénéficiait d'une gare permettant aux voyageurs d'emprunter la ligne d'Auneau-Ville à Dreux via Maintenon.

Politique et administration

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1986 Paul Boucher    
1986 mars 1989 Bernard Le Ferrec    
mars 1989 avril 2011 Daniel Deshayes    
mai 2011 mars 2014 Pascal Laya    
mars 2014 En cours Pascal Boucher[19],[20]   Commerçant

Politique environnementale

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].

En 2021, la commune comptait 919 habitants[Note 2], en évolution de −1,39 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
307307291576593590562505532
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
501432447432416388408511434
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
427431440426393384383376340
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
320318354461733718746750909
2017 2021 - - - - - - -
945919-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Manifestations culturelles et festivités

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Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Le lavoir du Gué-de-Longroi est un des plus vieux lavoirs d'Eure-et-Loir. Positionné en bordure de la Voise, il est au point de départ de « La route du blé » ;
  • La commune a la particularité de ne pas posséder d'église sur son territoire[25].

Personnalités liées à la commune

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  • Paulette Legrand (1916-1994), épouse d'apiculteur, y est née.
  • Roger Ascot (1928-2011), écrivain et journaliste français, y possédait une résidence secondaire.
  • Garcimore (1940-2000), le célèbre magicien avait sa demeure dans la commune. Il repose au cimetière municipal.
  • Jean Todt (né en 1946), ancien copilote de rallye français, directeur d'écurie de sport automobile, président de la FIA.

Héraldique

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  Blason
De gueules à sept filets ondés en fasce d'azur, à la fleur de lis d'argent accompagnée de deux épis de blés d'or, les tiges ployées et posés en chevron renversé, le tout brochant ; à la filière d'azur.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Citation littéraire

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« Un peu plus tard, ils traversèrent des villages dont les noms chantaient comme des poèmes à Jeanne : Occonville, Umpeau, Cherville, Villiers-les-Bois, Houville-la-Branche, Nogent-le-Phaye. »

— Michèle Sarde, Histoire d'Eurydice pendant la remontée, Paris, Seuil 1991, page 69-70.

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Le Gué-de-Longroi et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  8. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. a b et c « Les risques près de chez moi - commune duGué-de-Longroi », sur Géorisques (consulté le ).
  11. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  12. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  15. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 68.
  16. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Paris, Errance, , 440 p. (ISBN 2-87772-237-6), p. 206.
  17. Recueil des actes administratifs de la Préfecture d'Eure-et-Loir, tome XIV, année 1838, page 85 : "Extrait de l'ordonnance royale. Paris le 31 mars 1838, Louis-Philippe, Roi des Français, A tous présens (sic) et à venir, Salut : Sur le rapport de notre ministre secrétaire d'État au département de l'intérieur, le comité de l'intérieur de notre conseil d'État entendu, nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit : Art. 6. La commune de Saint-Cheron-du-Chemin, arrondissement de Chartres, département d'Eure et Loir, portera à l'avenir le nom du Gué-de-Longroi."
  18. a et b Archives nationales-F 2 II Eure-et-Loir 1, plan annexé à la minute.
  19. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Simon Dechet, « L’emplacement des églises pourrait définir les conditions d’entrée des communes », sur lechorepublicain.fr, (consulté le ).